Fonctionnement du parlement des jeunes : Le CNDH s’engage aux côtés des jeunes parlementaires

Fonctionnement du parlement des jeunes : Le CNDH s’engage aux côtés des jeunes parlementaires

Ce vendredi 21 juillet 2023, le Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH) a participé à un atelier organisé  par le Centre pour les Droits de l’Homme de l’Université de Pretoria, en collaboration avec le Parlement Panafricain (PAP), portant sur la participation de la société civile au fonctionnement dudit Parlement.

Présente à cette cérémonie, la présidente du CNDH, Mme Namizata Sangaré a rappelé que conformément aux Principes de Paris, le CNDH développe avec les Parlements, une interaction en vertu des Principes de Belgrade qui disposent que «les Institutions Nationales des Droits de l’Homme (INDH), les Parlements et tous les parlementaires devraient œuvrer ensemble pour la sensibilisation et les campagnes d’éducation et encourager leur participation aux événements, conférences et activités organisées pour la promotion des droits de l’Homme ». C’est pourquoi, le CNDH se réjouit de la collaboration avec le Centre pour les Droits de l’Homme et le Parlement Panafricain (PAP) ; collaboration qu’elle espère fructueuse, avec en première ligne, le renforcement du rôle de la société civile dans la promotion, la protection et la défense des droits de l’Homme dans nos Etats. Et ce, dans le cadre du gouvernement ouvert avec les acteurs de la société civile d’Afrique francophone.

« Le CNDH réaffirme son engagement à poursuivre son interaction avec la société civile, en vue de sa participation au développement économique et à l’intégration continentale, notamment dans les processus de prise de décision et dans la consolidation de la démocratie dans nos Etats. Le CNDH travaille avec les OSC à travers un mécanisme d’interaction permanente dénommé «Forum national des droits de l’Homme»  que nous avons mis en place. C’est un cadre de concertation, de partage d’expériences, de bonnes pratiques et de conduite de plaidoyers solidaires. Il est reproduit au niveau régional, dans les 31 commissions régionales » a indiqué Mme Sangaré.

Dans le cadre de la coopération avec  le Centre pour les Droits de l’Homme, le CNDH  compte utiliser  ces mécanismes pour ensemble familiariser les organisations de la société civile d’Afrique francophone avec le fonctionnement du Parlement panafricain, et cultiver un espace civique propice  aux idéaux démocratiques.

Santé sexuel des jeunes : Le CNDH et 5 agences du Système des Nations Unies font la restitution de l‘engagement de haut niveau des ministres de l’éducation et de la santé de l’Afrique de l’Ouest et du Centre

Santé sexuel des jeunes : Le CNDH et 5 agences du Système des Nations Unies font la restitution de l‘engagement de haut niveau des ministres de l’éducation et de la santé de l’Afrique de l’Ouest et du Centre

Pour répondre efficacement  aux besoins des adolescents et des jeunes, garçons et filles, de l’Afrique de l’Ouest et du Centre (AOC), en général, et ceux de la Côte d’Ivoire en particulier, un programme d’éducation et de services de santé sexuelle et reproductive (SSSR) a été élaboré.  Ce programme a été présenté ce jeudi 13 juillet au CNDH par l’UNESCO en collaboration avec le CNDH.

« Je voudrais marquer notre pleine et entière adhésion à la tenue de cette restitution qui permettra, assurément, à l’ensemble des autorités administratives et institutionnelles, au secteur privé ainsi qu’aux représentants de la société civile de s’approprier la déclaration de Brazzaville et de s’y engager résolument au regard de leurs missions. La vision de l’Engagement de l’Afrique de l’Ouest et du Centre (AOC) envisage des adolescents et des jeunes éduqués, en bonne santé, responsables, acteurs du développement de leurs familles, communautés et pays » a dit Mme la présidente du CNDH.

La présente cérémonie révèle un caractère primordial pour le pays car, il s’agit de la santé et du bien-être des jeunes, les futurs citoyens du pays, des acteurs démographiques et agents de développement de la Nation.  La proclamation de l’engagement de haut niveau est la résultante de tout un processus mis en œuvre en Côte d’Ivoire depuis 2020. Ce processus a atteint son apogée avec l’organisation de la concertation nationale qui a réuni plusieurs parties prenantes. Cet exercice réalisé dans les 33 Pays, a permis de produire un document consensuel pour l’Afrique de l’Ouest et du centre.

La cérémonie  a été conjointement organisée par 5 agences du Système des Nations Unies à savoir l’UNESCO, l’UNFPA, l’UNICEF, l’ONUSIDA, l’OMS qui, toutes, ont dans leur mandat, la promotion de l’éducation, de la santé, des enfants, des jeunes, la lutte contre le VIH.  Comme vous le savez, le Système des Nations Unies joue un rôle d’appui conseil et accompagne l’Etat pour une mise en œuvre efficiente des politiques.

Sécurisation et prévention du risque terroriste : Une ONG internationale échange avec le CNDH

Sécurisation et prévention du risque terroriste : Une ONG internationale échange avec le CNDH

Dans le cadre de son projet d’appui à la sécurisation et à la prévention du risque terroriste dans le Nord de la Côte d’Ivoire, l’ONG internationale COGINTA qui œuvre en Côte d’Ivoire depuis 2019 a sollicité l’appui technique du CNDH.  C’était ce jeudi 6 juillet au cours d’une audience avec la présidente du Conseil national des droits de l’homme.

Conduite par Michel Coat, conseiller technique et son directeur pays Hippolyte H. Sib, a obtenu une oreille favorable auprès de la présidente du CNDH afin de collaborer sur différents aspects et différentes thématiques de ce projet concernant les commissions régionales du Tchologo, du Bounkani et du Poro.

Financement des partis politiques : Le CNDH renforce les connaissances des partis politiques

Financement des partis politiques : Le CNDH renforce les connaissances des partis politiques

Dans le cadre de son interaction avec les partis politique, le Conseil national des droits de l’homme (CNDH) a organisé le jeudi 6 juillet une rencontre d’échange avec ces derniers autour du la Loi N° 2004-494 du 10 septembre 2004 relative au financement sur fonds publics des partis et groupements politiques et des candidats à l’élection présidentielle.

La problématique du financement de la vie politique sur fonds publics est une préoccupation dans notre pays. Et, cette session visait à  renforcer les connaissances des points focaux droits de l’homme pour mieux comprendre les enjeux juridiques du financement des partis et groupements politiques ; analyser les modalités de mise en œuvre des textes en vigueur sur la question et comprendre la nécessité d’un contrôle de la gestion des fonds publics alloués.

« Quel est l’état des lieux du financement public des partis politiques en Côte d’Ivoire ? Quels sont les acquis et insuffisances de cette loi et qu’est-ce que cette ordonnance apportera de plus à ce dispositif ? Ces textes offrent-ils des gages structurés autour de standards tels que l’efficacité, la transparence et l’équité ? Ce dispositif contribue-t-il à la consolidation des capacités opérationnelles des partis et groupements politiques ? En termes de transparence, ce dispositif consacre-t-il  la traçabilité et la redevabilité comme exigences de gestion des fonds alloués ? » S’est interrogé la présidente du CNDH, Mme namizata Sangaré à l’ouverture de la cérémonie.

Autant de questions auxquelles cette session a donné des réponses.

Le CNDH souhaite à travers cette rencontre, créer les conditions de l’inclusion effective de tous les partis et groupements politiques  et contribuer à la consolidation de leurs capacités opérationnelles comme gage d’efficacité. 

Le financement des partis politiques offre l’avantage d’éviter le financement occulte des activités de ces formations, pratique qui est le déterminant même de la corruption et de la mauvaise gouvernance.

Il s’agit d’éviter également l’opacité dans l’usage des fonds alloués et d’encourager la publication des comptes des partis politiques comme une exigence de transparence.

Le Conseil National des Droits de l’Homme CNDH) s’est impliqué et s’impliquera davantage dans le processus électoral à venir, conformément à la résolution N° 48/134 du 20 décembre 1993 de l’Assemblée Générale de l’Organisation des Nations Unies recommande aux Etats de créer des institutions nationales, qui auront pour missions principales de mettre en œuvre les politiques en matière de promotion et de protection des droits de l’homme, et d’orienter les pouvoirs publics dans le domaine des droits de l’homme en vue de l’enracinement de la démocratie, a indiqué la présidente du CNDH.

A cet effet, dans le cadre de la mise en œuvre de son mandat, le CNDH a mis en place en juin 2020 un Observatoire pour le respect des droits de l’Homme dans les processus électoraux.

« Pour les régionales et les municipales de septembre 2023, nous avons réactivé cet Observatoire sous l’égide duquel a eu lieu l’observation de la dernière Révision de la Liste Electorale.

Nous nous inscrivons donc dans la dynamique de consolidation de la paix à travers la mise en œuvre du « principe des 3 P » : Prévention, Promotion et Protection des Droits de l’Homme. Cet observatoire permettra de documenter pour les prochaines élections, les violations et atteintes aux droits de l’Homme » a-t-elle expliqué.

Salut aux couleurs : Les agents du CNDH invités à plus de travail en équipe

Salut aux couleurs : Les agents du CNDH invités à plus de travail en équipe

Comme chaque premier lundi de mois, les agents du Conseil national des droits de l’homme (CNDH) ont procédé à une cérémonie de salut aux couleurs. Compte tenu des intempéries, le salut aux couleurs n’a pu se faire. Par contre, un message leur a été adressé par la vice-présidente Mme Marie Paule Kodjo ce lundi 3 juillet dans l’amphithéâtre.

Le message de ce mois portait sur  « l’esprit d’équipe. » Par définition, l’esprit d’équipe consiste à faire preuve de solidarité avec les membres de son groupe en situation de travail, afin de transformer celui-ci en équipe à gagner.  En effet, l’esprit d’équipe est un lien entre les membres d’un groupe. Il leur donne de faire corps et les pousse à œuvrer pour le bien du groupe  au détriment de l’individuel.  Plus l’esprit d’équipe est fort, plus les membres sont soudés et travaillent pour l’intérêt commun. A expliqué la vice-présidente.

« Cet élan de « solidarité professionnelle»  développe le sentiment de responsabilité et de dépendance réciproque au sein d’un groupe de personnes qui, ayant une communauté d’intérêts, se sentent moralement obligées les unes par rapport aux autres. En ce sens, l’esprit d’équipe fait intimement corps avec la solidarité. Cette solidarité est un devoir social, une obligation réciproque d’aide, d’assistance et de collaboration gracieuse entre les personnes d’un groupe ou d’une communauté, au regard du lien qui les unit.  L’esprit d’équipe mêle également qualités humaines et professionnelles, dans une ambiance bienveillante » a poursuivit la vice-présidente.

C’est pourquoi elle a ajouté que les supérieurs hiérarchiques et leurs collaborateurs tirent parti de cette complicité pour atteindre des objectifs communs.  Aucune organisation ne peut être performante sans un esprit d’équipe porté par le collectif. Il est révolu, le temps où pour certains, le travail est un lieu de compétition où l’on gagne au détriment de l’autre. Une telle approche n’est qu’illusoire.  L’esprit d’équipe doit se traduire, entre autres, par le don de soi, la  disponibilité et l’entraide mutuelle au sein de notre institution pour lui garantir une crédibilité, face aux nombreux enjeux et défis à relever.

« Nous avons  la responsabilité de faire face, toujours en équipe, aux sollicitations des populations et usagers en matière de promotion, protection et de défense de leurs droits. Il ne doit pas y avoir d’un côté des personnes qui travaillent avec abnégation et de l’autre,  un autre groupe qui triche. L’esprit d’équipe est un savoir-être et un savoir-faire qui doivent permettre aux agents du CNDH de se soutenir les uns les autres et d’obtenir d’excellents résultats. Ne dit-on pas que « l’union fait la force » ?  S’est-elle interrogée avant d’exhorter ses collaborateurs à faire prévaloir l’esprit d’équipe dans leurs différents services. »

Accès aux voies de recours des victimes en lien avec les activités des entreprises : Le CNDH renforce les capacités de ses agents

Accès aux voies de recours des victimes en lien avec les activités des entreprises : Le CNDH renforce les capacités de ses agents

Afin de renforcer les capacités des membres de 24 commissions régionales du CNDH au plaidoyer sur l’accès aux voies de recours des victimes de violations des Droits de l’Homme en lien avec les activités des entreprises, le Conseil national des droits de l’homme (CNDH) a organisé le vendredi 30 juin un atelier dans ses locaux.

Selon M assouman Bamba, directeur de cabinet et représentant la présidente du CNDH, cet atelier a pour objectif de vulgariser les voies de recours juridictionnels et les moyens d’actions non-juridictionnels de renforcer l’implication et la participation de toutes les parties prenantes à l’action de promotion et de protection des droits de l’Homme, y compris les femmes et les personnes vulnérables et à conduire un plaidoyer auprès des autorités judiciaires et administratives dans 24 régions administratives en vue du renforcement de l’accès aux voies de recours des victimes des violations des Droits de l’Homme en lien avec les activités des entreprises.

Poursuivant, il a indiqué que les enquêtes réalisées par le CNDH sur la question ont permis de relever de nombreuses violations des droits de l’homme en lien avec les activités des entreprises. La quasi-totalité de ces violations rentent généralement sans suite judiciaire en raison du déficit des saisines des voies de recours juridictionnelles et non juridictionnelles.

 Ces enquêtes selon le CNDH soulèvent un déficit d’accès aux voies de recours des victimes violation des droits de l’homme.  

 Le Conseil national des Droits de l’Homme (CNDH) a réalisé deux enquêtes respectivement sur le respect des Droits de l’Homme par les entreprises de sécurité privée (mai 2021) et la cartographie des sites d’orpaillage illégal (mars 2022) qui ont permis de relever de nombreuses violations des Droits de l’Homme en lien avec les activités des entreprises.

En partenariat avec l’Institut Danois des droits de l’Homme (IDDH) cet projet est une aubaine pour le  CNDH pour mettre en œuvre sa vision en matière de renforcement de l’accès aux voies de recours pour les victimes de violations des Droits de l’Homme en lien avec les activités des entreprises. 

Journée internationale des veuves : Le CNDH  édifie des veuves sur leurs droits

Journée internationale des veuves : Le CNDH édifie des veuves sur leurs droits

Ce lundi 26 juin, le Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH) a commémoré la journée internationale des veuves à son siège. Une occasion pour enseigner à ces dernières leurs droits.

 « On doit cette journée célébrée depuis 2011 à la Première dame du Gabon, Sylvia Bongo Ondimba. Elle s’est en effet engagée dans la promotion et la protection des droits personnes fragilisées »  a indiqué la Présidente du CNDH. Cette journée donne l’opportunité aux États, aux associations, aux organisations de la société civile et aux veuves de faire le point des progrès accomplis en matière de protection et de promotion des droits des veuves.

« Cette conférence vise au renforcement de la promotion et de la protection des droits des veuves, à les sensibiliser afin qu’elles se les approprient, notamment à travers la vulgarisation des droits des conjoints survivants » a dit Mme Namizata Sangaré. Conférence prononcée par la ministre Jacqueline Lohoues Oble. Il s’en est suivi un panel avec les directeurs de la Caisse National de prévoyance (CNPS) et de la caisse générale de la retraite des agents de l’État (CGRAE).

Selon le représentant de la Caisse National de Prévoyance Sociale CNPS pour bénéficier des avantages liés au veuvage, il faut avoir au moins 55 ans  pour avoir accès à la pension de réversion du conjoint, être marié légalement et avoir au moins deux enfants mineurs afin de bénéficier de 50%  du capital du conjoint survivant. Poursuivant, il a indiqué  que pour que enfants bénéficient de 20% de la pension de leurs parents t il faut être âgé de – de 21 ans.

Dans cette même lancé M Lida Serge Pacôme de la caisse générale de la retraite des agents de l’État a également statué sur le compte de la CGRAE en donnant un certain nombre de conditions pour pouvoir bénéficier de la pension à savoir : « être marie légalement, le mariage doit excéder au moins 02 années et réunir les pièces administratives. »

La cérémonie a pris fin par une remise de dons de la part de madame la Présidente du Conseil National des Droits de l’Homme.

Femmes et élections : Simone Gbagbo donne des rudiments à des femmes

Femmes et élections : Simone Gbagbo donne des rudiments à des femmes

Dans le cadre de son programme dénommé Coaching des femmes pour les élections, le Conseil national des droits de l’homme (CNDH) a reçu ce mercredi 21 juin, la présidente du Mouvement des générations capables (MGC) Simone Ehivet Gbagbo. Elle animait ainsi la communication « Construction d’un projet politique » devant une cinquantaine de femmes.

Cette formation est conforme à l’objectif du Conseil national des droits de l’homme (CNDH) visant à améliorer le niveau de représentation des femmes dans les assemblées élues à la fin des processus électoraux et d’encourager les partis et groupes politiques à respecter le quota de 30 % selon la loi n° 2019-870 du 14 octobre 2019 a indiqué madame la présidente du CNDH, Namizata Sangaré .

«Dans le cadre de sa mission de promotion, de protection et de défense des droits de l’Homme, votre organisation, le Conseil national des droits de l’homme (CNDH) a initié cette année, la deuxième édition du Programme de formation et de coaching des femmes en vue des échéances électorales. Vous avez bien voulu m’associer à ce programme pour aider au renforcement des capacités des femmes engagées en politique, surtout celles qui entendent participer aux prochaines élections municipales et régionales. Je fais partie de ceux et celles qui croient que plus les femmes s’engagent en politique et occupent les hautes sphères de décisions, mieux la société entière se portera » a indiqué Simone Ehivet Gbagbo à l’entame de sa communication qui s’est faite autour de 3 questions à savoir : qu’entendre par « Construire un projet politique » ? En quoi est-il nécessaire de construire un projet politique ? Et comment construire un projet politique ?

Pour la communicatrice du jour, en tant que femme, elle est concerné par tout ce qui touche à la femme surtout tout ce qui lui permet de réduire l’espace qui la distance de l’homme dans la gestion de la cité et des affaires publiques et même privées mais aussi tout ce qui lui permet de se libérer des pesanteurs biologiques et des préjugés culturels m’interpellent.

Droit des travailleurs : Le syndicat du personnel des collectivités territoriales souhaite le soutien du CNDH

Droit des travailleurs : Le syndicat du personnel des collectivités territoriales souhaite le soutien du CNDH

Une délégation du Syndicat national du personnel des collectivités territoriales de Côte d’Ivoire (SYNAPECOCI) conduite par son secrétaire général Vouandé Gue a échangé avec la présidente du CNDH afin de partager avec elle leurs inquiétudes concernant la suppression de leur indemnité de départ à la retraite.

Après avoir noté les inquiétudes de ce syndicat, la présidente du CNDH leur a indiqué les voix à suivre afin d’obtenir gain de cause après un plaidoyer.