




C’est une décision inédite en Europe. Les femmes souffrant de règles douloureuses ont désormais la possibilité de bénéficier d’un congé menstruel auprès de leurs employeurs.
C’est le jeudi 16 février 2023 que le parlement espagnol a adopté cette loi. Cette mesure est destinée, selon le gouvernement de gauche, à briser un tabou.
“C’est un jour historique pour les avancées féministes”, a lancé sur Twitter la ministre de l’Égalité Irene Montero, membre de la formation de gauche radicale Podemos, alliée des socialistes au sein de l’exécutif.
Par 185 voix favorables (154 contre et 3 abstentions), ce texte fait de l’Espagne le premier pays en Europe et l’un des rares dans le monde à intégrer cette mesure dans sa législation – à l’instar du Japon, de l’Indonésie ou de la Zambie.
Avec cette loi, “l’arrêt de travail d’une femme en cas de règles incapacitantes” liées, par exemple, ” à des pathologies comme l’endométriose” sera “reconnu comme une situation spéciale d’incapacité temporaire” de travail. “Il s’agit d’accorder à cette situation pathologique une régulation adaptée afin d’éliminer tout biais négatif” pour les femmes “dans le monde du travail”, ajoute le texte.
Aucune précision ne figure dans la loi sur la durée de cet arrêt maladie, qui devra être accordé par un médecin et sera financé par la Sécurité sociale.
En visite en Côte d’Ivoire dans le cadre de la préparation de la journée des peuples d’origines Africaines du Brésil, Cristina Almeida, députée, présidente de la commission des relations extérieures de l’Assemblée Législative de l’Etat d’AMAPA (Brésil), a échangé le lundi 16 janvier avec la présidente du CNDH, Mme Namizata Sangaré.
Accompagnée par l’ambassadeur de la Côte d’Ivoire au Brésil, M Diamouténé Alassane Zié, Cristina Almeida a partagé son expérience de femme noire élue dans un pays où les femmes restent encore marginalisées et au bas de la « pyramide sociale ». Tout en indiquant avoir de l’espoir que les choses changent positivement, elle a souhaité garder les liens avec le CNDH.
Pour sa part, Mme Namizata Sangaré a partagé avec elle les efforts à faire en matière des droits de la femme en Côte d’Ivoire avec un accent particulier sur les femmes dans les assemblées élues.
Le premier ministre, chef du gouvernement, Patrick Achi a reçu ce mercredi 11 janvier 2023, une délégation du CNDH conduite par sa présidente, Namizata Sangaré. Au cœur des échanges, les priorités 2023 du CNDH.
Cette rencontre marque tout l’intérêt que le Premier ministre porte aux droits de l’homme et au travail de l’Institution nationale qui a la charge de la promotion et de la protection des Droits de l’Homme. Elle atteste également le grand intérêt qu’il accorde aux avis et recommandations émis par le CNDH dans la mise en œuvre de son mandat.
Pour rappel, le premier ministre a été aux côtés du CNDH lors de l’organisation des activités de la Quinzaine des Droits de l’Homme qui se sont déroulées du 1er au 15 décembre à l’effet de promouvoir les Droits de l’Homme auprès des populations. C’est dans ce même cadre qu’il a remis le 09 décembre, le Prix National des Droits de l’Homme décerné aux organisations de défense des Droits de l’Homme qui se sont distinguées par des actions innovantes sur le terrain. Ce prix a été décerné à l’ONG Over come women et remis en son nom par Monsieur le Directeur de Cabinet adjoint, pour ses actions en faveur de la lutte contre les grossesses en cours de scolarité.
Cette rencontre a permis à la présidente du CNDH de faire le point de certaines activités du CNDH qui, en 2022, a enregistré 2 937 saisines des populations dont 913 cas de Violences Basées sur le Genre. Le CNDH note également que le Droit à l’identité demeure une préoccupation. Pour exemple, plus de 8650 personnes seraient sans papiers dans certains villages. La présidente du CNDH a informé le Premier ministre des cas de conflits intercommunautaires qui continuent d’endeuiller les familles et causent d’importants dégâts matériels, des cas de réfugiés interne, la délinquance juvénile, les entraves au droit à une éducation de qualité de même que le droit à la santé.
Profitant de cette lucarne, le CNDH a présenté quelques doléances au premier ministre, telles que des crédits pour la construction d’un Centre international des droits de l’homme et de la démocratie, la construction de sièges propres d’au moins six (06) Commissions Régionales des Droits de l’Homme (CRDH), le déplafonnement du Budget et l’augmentation de la ligne budgétaire relative aux activités programmées dans le budget du CNDH et le renforcement des capacités opérationnelles de la commission centrale et des commissions régionales.
Le premier ministre, après avoir accordé une oreille attentive à ces doléances, a rassuré le CNDH de sa disponibilité à œuvrer pour plus de respect des droits de l’homme et surtout à l’amélioration du cadre de travail de l’institution en charge de la promotion et de la protection des droits de l’homme.
Dans le cadre de sa collaboration avec des partenaires techniques et financiers, le CNDH a reçu ce lundi 9 janvier, l’ambassadeur de Grande Bretagne et de l’Irlande du Nord, SEM Catherine Brooker. les échanges ont porté essentiellement sur les perspectives de la mise en œuvre du document de stratégie (2022-2025) du CNDH, porté par 04 axes principaux que sont : La consolidation des acquis à travers l’amélioration du cadre législatif et réglementaire et du renforcement des capacités matérielles et opérationnelles du CNDH; La construction d’un Centre international des droits de l’homme et de la démocratie ; La mise en œuvre du mandat de protection, de promotion et défense des droits de l’Homme et de coopération avec les Organisation de la société civile (OSC), les institutions nationales et internationales et la communication par l’adoption d’un document de stratégie et l’amélioration de la visibilité du CNDH.
«C’était la première opportunité pour nous d’avoir une large présentation du CNDH et de tout ce qu’il fait afin de comprendre tous les défis et les sujets importants de cette institution de promotion des droits de l’homme. Nous avons également abordé les conditions de notre future collaboration sur plusieurs sujets en lien avec les droits de l’homme » a indiqué SEM Catherine Brooker
Pour sa part, la présidente du CNDH, Namizata Sangaré s’est dit satisfaite de cette rencontre et se dit optimiste quant à la future collaboration avec cette délégation.
Pour l’année 2023, le CNDH portera un regard particulier sur les problématiques suivantes telles que la surveillance des élections en lien avec les droits de l’homme, à l’accès à la justice et à la détention ; l’accès aux soins de santé et à une éducation de qualité constituent une priorité et la participation des femmes à la vie publique et politique. Comme en 2022, le CNDH compte produire une dizaine d’enquêtes.
Dans le cadre de sa collaboration avec des partenaires techniques et financiers, le CNDH a reçu ce lundi 9 janvier, une délégation de l’ambassade de France conduite par M. Laurent Bonneau, conseiller aux affaires culturelles et coopérations. les échanges ont porté essentiellement sur les perspectives de la mise en œuvre du document de stratégie (2022-2025) du CNDH, porté par 04 axes principaux que sont : La consolidation des acquis à travers l’amélioration du cadre législatif et réglementaire et du renforcement des capacités matérielles et opérationnelles du CNDH; La construction d’un Centre international des droits de l’homme et de la démocratie ; La mise en œuvre du mandat de protection, de promotion et défense des droits de l’Homme et de coopération avec les Organisation de la société civile (OSC), les institutions nationales et internationales et la communication par l’adoption d’un document de stratégie et l’amélioration de la visibilité du CNDH.
« Nous avons échangé sur les droits de femmes, les droits socio-économique et culturel qui sont des sujets qui nous intéresse et l’idée pour nous, c’est de voir les perspectives de notre collaboration avec le CNDH avec les autres partenaires notamment les partenaires européens sur d’autres sujets qui méritent des attentions particulières » a indiqué Laurent Bonneau à sa sortie d’audience.
Pour sa part, la présidente du CNDH, Namizata Sangaré s’est dit satisfaite de cette rencontre et se dit optimiste quant à la future collaboration avec cette délégation.
Pour l’année 2023, le CNDH portera un regard particulier sur les problématiques suivantes telles que la surveillance des élections en lien avec les droits de l’homme, à l’accès à la justice et à la détention ; l’accès aux soins de santé et à une éducation de qualité constituent une priorité et la participation des femmes à la vie publique et politique. Comme en 2022, le CNDH compte produire une dizaine d’enquêtes.
Ce lundi 2 janvier, comme tous les premiers lundi du mois, le CNDH a procédé à sa traditionnelle cérémonie de Saluts aux Couleurs. Cette fois, en présence du Directeur de Cabinet Adjoint, représentant Monsieur le Ministre de la Promotion de la Jeunesse, de l’Emploi des jeunes, de l’Insertion Professionnelle et du Service civique.
Pour cette première édition de l’année 2023, outre les conseillers aux droits de l’homme, les 31 présidents des commissions régionales ont également effectué le déplacement.
Ce fut donc le cadre idéal pour la présidente du CNDH, Mme Namizata Sangaré de présenter ses vœux à l’ensemble de ses collaborateurs. Elle en a profité pour adresser ses félicitations à ses collègues Conseillers aux Droits de l’Homme pour le travail accompli depuis le début du mandat, notamment la visibilité donnée au Conseil, la crédibilité et la proximité avec les populations à travers nos travaux, études et rapports sur la situation des droits de l’Homme dans notre pays. Elle a associé à cet hommage les Présidents des CRDH et l’ensemble du personnel d’appui qui travaillent avec abnégation. Les Commissions Régionales des Droits de l’Homme sont les bras agissants du CNDH sur tout le territoire national. Elles constituent une pièce centrale du dispositif de notre mandat.
« Face aux défis en matière de droits de l’Homme, nous avons la lourde tâche de faire connaître aux populations leurs droits, de prendre en compte leurs préoccupations, et de participer aux initiatives de renforcement de la paix et de la cohésion sociale. Pour ma part, je garde le cap et m’engage à renforcer davantage la collaboration entre le CNDH et les entités publiques et privées, la société civile et les partenaires techniques » a-t-elle indiqué. Rappelant que le Conseil poursuivra sa surveillance permanente de la situation des droits de l’homme en Côte d’Ivoire et à déployer tous les axes de son mandat déclinés dans sa loi habilitante. Elle a par ailleurs révélé que le mécanisme de suivi avec les forces de défense et de sécurité mis en place par le CNDH et l’État-major des armées sera renforcé et étendu cette année aux autres corps tels la gendarmerie et la police, l’interaction avec les chancelleries accréditées dans notre pays sera poursuivie à travers le Briefing du corps diplomatique et, dans le cadre de son mandat de promotion, le CNDH sensibilisera les populations sur leurs droits et libertés. Des campagnes d’éducation et la commémoration des journées relatives aux droits de l’homme seront organisées sur l’étendue du territoire national, et ce, en liaison avec les Commissions régionales et des ONG œuvrant dans le domaine des droits de l’homme.
Pour sa part, le Directeur de Cabinet Adjoint du ministre de la Promotion de la Jeunesse, de l’Emploi des jeunes, de l’Insertion Professionnelle et du Service civique a indiqué être à la disposition du CNDH et marcher avec le CNDH dans le cadre du respect des droit de l’homme et la promotion du civisme.
Le Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH), dans le cadre de sa mission de promotion et de protection des valeurs professionnelles et civiques, a initié depuis le mois de septembre 2020, une cérémonie de salut aux couleurs tous les premiers lundi de chaque mois.
A cet égard, le CNDH a reçu le 7 septembre 2020, Monsieur le Secrétaire d’Etat chargé du Service Civique d’alors, Siaka Ouattara, qui a remis les symboles de la République au Conseil.
Au cours de ces cérémonies, la présidente du CNDH adresse au personnel un message portant sur la promotion et l’intégration des valeurs du travail dans leur vécu quotidien et professionnel.
Au nombre de ces valeurs, il faut noter la discipline, la responsabilité, le leadership, la solidarité, l’entraide, l’égalité, la compétence, la gestion du stress pour ne citer que celles-ci.
Les valeurs civiques devraient faire place aux déchirures de l’histoire ; l’administration publique donne l’exemple en portant haut le drapeau national.
Tous les ivoiriens sont invités à récréer dans leurs comportements et attitudes, le lien social républicain, l’unité nationale fondée sur des valeurs morales et civiques fortes auxquelles tout honnête citoyen, quelles que soient ses croyances ou convictions (religieuses, politiques ou philosophiques) personnelles, ne pourrait manquer de souscrire.
Les lauréats du prix des droits de l’homme, parrainé par le premier ministre, Jérôme Patrick Achi, sont connus depuis ce vendredi 9 décembre 2022. L’ONG Over Come Women a été classé premier et a remporté le premier prix avec et empoche ainsi un chèque de 1 500 000 franc FCA et un trophée. En deuxième position l’ONG DECI a remporté le chèque d’un million de FCFA et un trophée. Le troisième prix est revenu à l’ONG Pro Kids qui remporte un trophée et la somme de 500 000 FCFA.
Pour l’édition 2022 le choix du thème portait sur une problématique qui touche à une frange particulièrement vulnérable de la population ivoirienne, c’est-à-dire les jeunes filles.
Il s’agit du thème générique des « Grossesses en milieu scolaire », autrement dit « Grossesses en cours de scolarité », qui constitue un sujet de vive préoccupation en Côte d’Ivoire.
En effet, dans le cadre de ses activités de monitoring, le Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH) a documenté dans la période allant de mai 2021 à septembre 2021, 3409 cas de grossesses en milieu scolaire, sur toute l’étendue du territoire national.
Les taux de prévalence les plus élevés ont été observés dans les régions de la Nawa avec 374 cas, du Haut-Sassandra avec 296 cas, du Guémon avec 220 cas, de l’Agneby-Tiassa pour 200 cas et 166 cas pour la région du Sud Comoé.
Ainsi, les grossesses en milieu scolaire soulèvent la question des défis de la réalisation des droits de la jeune fille, au vu des conséquences qu’elles engendrent, notamment : les risques pour la mère et l’enfant au niveau sanitaire, l’abandon et l’expulsion du foyer familial, les stigmatisations, la déscolarisation des jeunes filles concernées, l’arrêt des études et la précarisation de la mère et de son enfant a révélé la Présidente du CNDH, Namizata Sangaré.
Les grossesses en milieu scolaire, au regard de ces conséquences, représentent un problème de santé pour les jeunes filles, constituent un frein à leur réussite scolaire et limitent leur accès aux chances et opportunités de réussite professionnelle.
Le prix national des droits de l’homme est une initiative du Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH), institué en 2016, à l’instar de nombreuses autres INDH dans le monde, dont la Commission Nationale Consultative des Droits de l’Homme en France (CNCDH) qui décerne chaque année, depuis 1988, le prix des droits de l’homme de la république française. Il a été institué par l’article 62 du Règlement intérieur du CNDH du 18 avril 2019, est remis aux termes de l’article 66 dudit Règlement par le Premier Ministre de la République de Côte d’Ivoire.
Il vise à accompagner les initiatives des personnes morales et physiques engagées dans la promotion et la protection des Droits de l’Homme. Il est décerné, à l’occasion des activités commémoratives de la Journée Internationale des Droits de l’Homme et dans le cadre de la Quinzaine des droits de l’homme. Il récompense les actions et les efforts des organisations de défense des Droits de l’Homme, des organisations à base communautaire, des organisations à but humanitaire et des personnes physiques, engagées dans la réalisation des Droits de l’Homme à travers des approches innovantes. Le prix national des droits de l’homme, vise à contribuer à une meilleure promotion et protection des Droits de l’Homme et s’inscrit dans la dynamique d’accompagnement des organisations et institutions dédiées aux droits de l’homme dans leurs diverses initiatives.
Une délégation du haut-commissariat des nations unies au droit de l’homme conduite par Robert Kotchani a été reçue par la présidente du CNDH le jeudi 8 décembre.
Au cœur des échanges, la coordination des actions et des échanges d’informations afin de mieux mener ensemble des activités sur différentes problématiques des droits de l’homme. Il s’agit entre autre d’activités de renforcement de capacités et de plaidoyer des acteurs des droits de l’homme.
Cette audience s’est tenue en marge de l’atelier des défenses de renforcement des capacités du comite de protection des défenseurs des droits de l’homme et de ses partenaires étatiques et non-étatiques qui se tient les 12 et 13 décembre 2022.
La présidente du Conseil national des droits de l’homme (CNDH) a, au nom des conseiller de cette institution, décerné le Prix d’honneur 2021 à la Première Dame, Dominique Ouattara. Ce prix magnifie son engagement et ses actions en matière de promotion et de protection des droits de l’Homme.
En effet, la Première Dame a posé des actions pour l’Afrique et la Côte d’Ivoire, qui vont au-delà de sa fonction de Première Dame. Ces actions ont permis à la Commission centrale, à l’unanimité, de porter son choix sur elle et sur l’institution qui assure la matérialisation de sa vision pour les plus vulnérables. « Vous êtes investie dans l’humanitaire et dans la solidarité internationale, la main sur le cœur, avec une passion qui nous rappelle toujours, la mère, la femme tendre et généreuse, pour qui l’humanité et la dignité valent plus que l’or et les lambris dorés du pouvoir. D’ailleurs, depuis 1998, la Fondation Children of Africa que vous avez mise sur les fonts baptismaux intervient dans 12 pays d’Afrique dans les domaines de la santé, l’éducation, le social et les centres subventionnés. Cette intervention contribue fortement à l’amélioration des droits fondamentaux de l’enfant et de la femme dans ces pays » a rappelé la présidente du CNDH à la remise de ce prix le mardi 6 décembre 2022.
En effet, la fondation Children of Africa apporte son soutien matériel et financier à plusieurs organismes et structures en Afrique, notamment, « Urgence en Afrique » du Bénin et du Burkina Faso ; le Samu social de Ouagadougou, de Bamako, de Dakar ; la Health of African Children au Cameroun ; la voix du Cœur en faveur des enfants de la rue en Centrafrique ; l’association Arc en ciel au Gabon ; le foyer Saint Joseph en Guinée ; le Centre Père Pedro en Madagascar et l’Association d’aide aux femmes et aux enfants victimes de violences familiales au Niger, pour ne citer que celles-ci.
Au niveau des droits civils, les actions de Mme Dominique Ouattara ont renforcé le droit à la sécurité et à la paix, en sortant de milliers d’enfants en rupture avec la loi, de la rue et de la violence et contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants ainsi que votre soutien à la résolution du problème de l’Etat civil. Au niveau des droits économiques et sociaux culturels, la construction de l’Hôpital Mère-Enfant, les caravanes ophtalmologiques, les remises d’importants lots d’équipements, de dons de matériels sanitaires et de médicaments aux structures de soins participent à la réduction de la mortalité maternelle et infantile et de résorber les difficultés d’accès à la santé.
Ces dernières années, vos actions ont eu un impact positif sur l’amélioration des droits catégoriels.
Tout comme la construction de centres d’accueil pour enfants en difficulté, à Soubré et à Ferkessédougou, visant à servir de centres de transit et d’encadrement d’enfants victimes de traite, de trafic et d’exploitation en Côte d’Ivoire, les subventions à la Case des Enfants du Plateau, au Centre d’accueil et de réinsertion des mineurs de Bouaké, à Notre Dame des Secours de Bouaké, à la Case des enfants, le dispensaire Sainte Marie de Bondoukou constituent des espaces de préservation de la vie et de la dignité d’enfants rendus vulnérables par la précarité de leurs conditions sociales.
Cette remise s’est faite en présence de Monsieur Sansan Kambilé, ministre de la justice, garde des sceaux.
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