la Côte d’Ivoire vient de s’achever. Sur 273 recommandations reçues, la Côte d’Ivoire a accepté 226 recommandations, 10 acceptées partiellement et 37 recommandations notées ( refusées). Mme la présidente a pris la parole au nom du CNDH pour une déclaration de 2 minutes.
Dans le cadre de la mise en œuvre de son mandat de promotion, de protection et de défense des Droits de l’Homme, le Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH), a organisé, une rencontre d’échanges, dénommé ‘’mécanisme monde du travail’’ avec les acteurs des centrales syndicales, autour du thème : « L’actualité des Droits de l’Homme en milieu du travail et les perspectives d’activités », le jeudi 20 mars 2025, à la salle de conférence du CNDH. La rencontre s’est déroulée en mode exposé, suivi d’échanges sur les cas de violations des Droits de l’Homme dans le monde du travail. Ainsi à partir de l’exposé du CNDH sur les saisines liées au monde du travail, les participants ont été amenés à présenter la situation des Droits de l’Homme dans leurs domaines d’intervention. « Ce cadre de travail est essentiel pour chacune des structures que nous représentons. Le partage d’informations relatives aux droits en lien avec le monde du travail s’avère nécessaire et important. Nous devons faire en sorte de renforcer ce cadre et de l’animer continuellement par des actions. Cette approche doit s’inscrire dans un cadre global de prévention et d’être force de propositions », a expliqué la vice-présidente du CNDH, Dr Marie-Paul Kodjo. Cette rencontre qui a été très interactive a réuni les participants représentants les de différentes organisations syndicales du monde du travail.
C’est parti, depuis le mercredi 12 mars 2025, pour la 3e édition du programme de formation et de coaching des femmes. Cette formation initiée par le Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH), vise une meilleure représentation des femmes en politique. Le premier module de ce programme a porté sur ‘’la représentation des femmes dans les instances parlementaire’’. Ce module a été présenté par la vice-présidente du CNDH, Dr Marie Paule-Kodjo. Ainsi après ses propos introductifs qui ont porté la présentation générale du CNDH. Elle a ensuite axé son intervention sur les défis avant d’analyser la situation de la représentation des femmes dans les instances parlementaires. Notons que cette session a enregistré pour l’heure, 100 auditrices, dont une députée, une ancienne députée, des cheffes d’entreprise, des conseillères municipales, et des leaders de la société civile. Cette troisième session qui se tient en ligne et présentiel, se tiendra sur la période de mars à octobre 2025.
Entretenir les membres du groupe thématique « femme » sur les progrès observés dans la mise en œuvre du programme d’action de Beijing en lien avec les ODD. Tel est l’objectif de la rencontre thématique, initiée par le Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH), le lundi 10 mars 2025à son siège sis à Cocody les II Plateaux Vallons. A cet effet, Mme Mme Françoise OFFOUMOU Kaudjhis, Avocate, Présidente de l’Association pour le Droit et la Démocratie en Afrique et Vice- Présidente de l’Organisation des Femmes d’Eburnie pour la Paix, a animé une communication sur le thème : « Déclaration et Programme d’action de Beijing,30 ans après, quel bilan ? ». Pour sa part, la Vice-présidente du CNDH, Mme Marie Paule Kodjo, a justifié cette rencontre en ces termes : « Nos actions, aussi minimes soient elles, peuvent avoir une grande portée. Nous avons le devoir d’agir au quotidien pour promouvoir les droits de l’homme dans leur ensemble mais surtout ceux de la femme. Ensemble, invitons les femmes à prendre leur place ». Notons que cette rencontre qui a été interactive à travers les échanges constructifs, a permis de faire l’éventail des avancées liées au programme d’action de Beijing en lien avec les Objectifs de Développement Durable (ODD), à présenter les défis liés à l’insuffisance dans la mise en œuvre des recommandations issues du programme d’action de Beijing et des ODD, susciter un regain de mobilisation des acteurs majeurs de la mise en œuvre des recommandations du programme d’action et des ODD.
Le Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH), institution nationale en charge de la promotion et de la protection des Droits de l’Homme, a procédé au lancement officiel de la 3e édition du Programme de formation et de coaching des femmes à la participation à la vie politique ivoirienne, le jeudi 06 mars 2025, à l’Hôtel du District d’Abidjan. Il s’agissait au cours de cette cérémonie présidée par Madame Kandia Camara, présidente du Senat de, non présenter ce programme, ses objectifs et ses activités, mais aussi de réaliser un panel de haut niveau de sensibilisation sur la participation politique des femmes et mobiliser les femmes autours du programme. Cette session qui porte sur le thème : « Femme, prends ta place !», s’inscrit dans une dynamique nationale et mondiale visant à promouvoir l’égalité de genre et à renforcer la participation des femmes à la vie politique.
« En tant que mères, épouses, professionnelles et citoyennes, elles appréhendent mieux les défis auxquels sont confrontées les communautés et sont capables de proposer des solutions innovantes et adaptées. Conscient de ces enjeux, le CNDH a mis en place ce programme ambitieux pour accompagner 150 femmes désireuses de s’engager en politique », a expliqué Madame Namizata Sangaré, présidente du CNDH. Au nom du programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), partenaire technique et financier de ce programme, Madame Blerta CELA, Représentante Résidente du PNUD, a justifié son engagement : « Ce programme que nous lançons ensemble est bien plus qu’une simple formation. C’est un signal fort, une promesse d’avenir, un pas de plus vers une société où les femmes prennent toute leur place dans la gestion de notre cité. Je ressens également une profonde conviction, car le leadership féminin n’est pas une idée à défendre, mais une réalité à affirmer ». Notons que cette cérémonie a été ponctuée par de moments de partage d’expérience de cinq personnalités politiques ivoiriennes. A savoir Madame Mariam TRAORE Bintou ; Madame Danièle BONI-Claverie ; Madame AKA Véronique ; Madame TRAZERE Célestine ; Madame MONET Agnès, dont les récits ont fortement édifié l’assistance sur leurs parcours respectifs.
Mme la Vice-Présidente, Mesdames les Conseillères chères sœurs Monsieur le Secrétaires Général Mesdames et Messieurs. C’est avec un plaisir renouvelé que je me retrouve devant vous ce matin, pour évoquer avec vous, les évènements importants qui vont marquer le mois de mars 2025. Comme vous le savez, depuis le 1er mars les fidèles musulmans observent le jeune du mois de ramadan. Le Ramadan est le mois sacré de l’islam. Mois de recueillement de communion et de pardon. Une occasion pour maintenir et renouer entre les membres de la communauté l’esprit d’entraide, de fraternité et de solidarité. C’est une période de recherche d’une certaine grandeur spirituelle pour renforcer ses liens avec Alah. Le 5 mars prochain, débutera le Carême des fidèles chrétiens catholique, une période de modération et de renoncement. Un temps de préparation à la fête de Pâques qui célèbre la résurrection du Christ, appuyé sur : 1 le jeûne qui exprime la conversion par rapport à soi-même. 2. la prière qui exprime la conversion par rapport à Dieu 3. l’aumône ou le partage qui exprime la conversion par rapport aux autres. Le 6 mars 2025, le CNDH procèdera au lancement du programme de formation et de coaching de 150 femmes en prélude aux élections législatives, avec pour objectif d’atteindre le quota d’au moins 30% femmes à l’hémicycle. Le 8 mars est décrété par les Nations Unies, journée internationale des droits de la femme, qui trouve son origine dans les manifestations de femmes au début du XXe siècle, en Europe et aux États-Unis, réclamant des meilleures conditions de travail et le droit de vote. C’est en 1975, lors de l’Année internationale de la femme, que l’Organisation des Nations Unies a commencé à célébrer la Journée internationale des femmes le 8 mars. Le 8 mars de chaque année est une journée de rassemblements et d’action à travers le monde et l’occasion de faire un bilan sur la situation de la femme. Les groupes et associations de femmes militantes préparent des événements partout dans le monde pour : – Fêter les victoires et les acquis, – Faire entendre leurs revendications – Améliorer la situation des femmes. C’est aussi l’occasion de mobiliser en faveur des droits des femmes et de leur participation à la vie politique et économique. Ainsi, les Nations Unies définissent chaque année une thématique différente en faveur de la promotion des droits de la femme. Pour l’édition du 8 mars 2025, que nous célébrons par anticipation ce jour au cours de la cérémonie de salut aux couleurs, le thème retenu est « Pour toutes les femmes et les filles : droits, égalité et autonomisation ». Ce qui suggère cette journée comme une opportunité de réfléchir sur les progrès et de renforcer l’engagement envers l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes dans le monde entier. J’espère vivement que notre célébration de la femme en tant que source d’inspiration portera ses fruits et contribuera à renforcer notre engagement à promouvoir les intérêts de la femme. Ce faisant, nous parviendrons à transformer positivement notre destinée commune. Vous convenez donc avec moi Mesdames et Messieurs, que le mois de mars 2025 est chargé en évènement et non des moindres. Sur ce, je souhaite une bonne célébration de la JFI aux femmes du CNDH, un bon mois de jeûne aux musulmans et aux catholiques et un excellent mois de travail à toutes et à tous. Je vous remercie.
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