Le jeudi 21 septembre 2023 a eu lieu à l’amphithéâtre Diarrassouba Aboubakar Ben Sidick du CNDH, un atelier de formation.
L’objectif général de cet atelier est de contribuer à une appropriation par les conseillers et le personnel du CNDH de L’OPCAT et des techniques et outils de monitoring des lieux de privation de liberté. De manière spécifique, il vise à :
Outiller les conseillers et le personnel du CNDH sur les enjeux et les obligations consécutives à l’adhésion à l’OPCAT ;
Informer les conseillers et le personnel du CNDH sur la stratégie de l’Etat ivoirien dans la mise en place du MNP ;
Renforcer les capacités des conseillers et du personnel du CNDH en matière de techniques et outils de monitoring efficient des lieux de détention.
Cet atelier, qui a duré toute la journée, a vu la présence de tous les Conseillers de l’institution en charge des Droits de l’Homme.
Le Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH) a procédé, ce lundi 11 septembre, à son
siège, à une double cérémonie du lancement de l’édition 2023 de la Quinzaine
des Droits de l’Homme et du Prix National des Droits de l’Homme qui porte sur
le thème : «Jeunesse, Droits et engagement civique »
De 2007 à ce jour, le
Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH) a décidé de mettre en œuvre,
autour de cette date charnière, un programme de promotion et de vulgarisation
des Droits de l’Homme intitulé la Quinzaine des Droits de l’Homme. La
Quinzaine des Droits de l’Homme est un programme de mobilisation de l’opinion
nationale sur la question des Droits de l’Homme en général.
Ce programme promeut également des droits plus spécifiques,
comme ceux des jeunes à l’honneur cette année. « En effet, 2023 a été
décrétée année de la jeunesse par Son Excellence Monsieur le Président de la
République. De plus en plus, les jeunes
qui représentent plus de 70 % de la population, montrent un intérêt grandissant
et une prise de conscience citoyenne pour les droits de l’homme, pour leurs
droits à une éducation de qualité, à la liberté d’expression, d’opinion, à la
santé, à la protection, à l’emploi entre autres » a indiqué la présidente
du CNDH, Madame Namizata Sangaré.
Pour cette édition 2023, le choix du CNDH s’est porté sur le
thème : « Jeunesse, Droits et engagement civique », en raison de l’esprit d’innovation
de cette jeunesse, de notre volonté
commune de les détourner de la violence, des actes d’incivisme et de défiance
aux institutions de la République. L’objectif
est de célébrer également leur potentiel et leurs capacités à être des acteurs
et des actrices de changements constructifs.
Décerné chaque 10 décembre, à l’occasion de la Journée
Internationale des Droits de l’Homme, l’édition 2023 du Prix National des Droits de l’Homme vise à récompenser les actions et les efforts
accomplis par les personnes physiques ou les organisations qui œuvrent dans le
domaine de la promotion de la jeunesse; Mettre en lumière les déterminants qui
entravent la réalisation des droits de la jeunesse et ceux contrariant leur
engagement citoyen et améliorer la réalisation des droits des jeunes et leur
engagement civique.
Il était important pour le CNDH, dans le cadre de
l’interaction avec les organisations de la société civile et plus spécifiquement
avec les organisations de jeunesse, de trouver un moyen de motiver et de
renforcer davantage leurs actions auprès des jeunes, en vue d’une meilleure
protection de leurs droits.
Le Prix National des Droits de l’Homme est la tribune idéale
pour les organisations de jeunesse de mettre en œuvre des actions innovantes.
Ces organisations de jeunesse jouent en effet un rôle
primordial dans la sensibilisation des jeunes dans le cadre de l’éducation et
de la formation à la citoyenneté, dans le cadre également de la connaissance de
leurs droits et devoirs.
Ce prix est ouvert à
partir du 11 septembre et les termes de références de même que le formulaire
est disponible sur le site www.cndh.ci
Couvrir une élection, c’est éclairer le choix des citoyens,
c’est-à-dire leur fournir les outils de
compréhension de ce qui fait débat. Cela ne va pas sans l’indépendance et le
pluralisme des médias, conditions sine qua non d’un processus électoral fiable
et transparent. Ce traitement médiatique repose également sur la sécurité de
tous les journalistes dans toutes les zones. C’est dans ce cadre que le Conseil
national des droits de l’homme a organisé un cadre d’échanges avec les
journalistes autour du thème « : « La protection des journalistes en
période électorale : enjeux, défis et perspectives ».
Un thème qui a fait l’objet d’un panel avec trois
communications à savoir « Comment écrire pour se protéger en période
électorale animé par Samba Koné,
Président de l’Autorité Nationale de la Presse ; « Communication 2 : Contribution des
journalistes pour des élections apaisées animé par Alfred Dan Moussa, Directeur
de l’ISTC et enfin le troisième thème portait sur le plan de travail de
l’UNESCO sur la sécurité des journalistes et la question de l’impunité.
« La sécurité des journalistes et la lutte contre
l’impunité sont essentielles pour préserver le droit fondamental à la liberté
d’expression, garanti par l’article 19 de la Constitution ivoirienne ainsi que
par l’Article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme dont nous célébrons cette année le 75ème anniversaire. Dans le monde, les journalistes
continuent d’être victimes
de toute une
série de répression: agressions mortelles,
agressions physiques non mortelles,
enlèvements, détentions arbitraires, menaces, harcèlement hors ligne et en
ligne, et représailles contre les membres de leur famille. Toutes ces attaques constituent une menace
considérable pour la capacité des journalistes à accomplir leur travail
essentiel et à servir le droit des populations à l’information. » a
indiqué la présidente du CNDH Mme Namizata Sangaré avant d’ajouter que la Côte
d’Ivoire a abrité du 27 au 28 avril 2023, la première édition de la Rencontre
Régionale de formation des journalistes des médias en ligne francophones de
l’Afrique de l’ouest, sur la question de la liberté d’expression et des droits
humains à laquelle le CNDH a pris une part active.
Toujours selon elle, notre pays est partie prenante au Plan
d’action de l’ONU sur la sécurité des journalistes et la question de l’impunité,
qui a été élaboré en 2012. Ce plan vise
entre autres à favoriser des médias indépendants et libres, et la
reconnaissance publique de la valeur de l’accès à l’information, ainsi que la
prévention et la protection des journalistes, à l’encontre des violations
qu’ils subissent, avec un accent sur les femmes journalistes, mais aussi les
médias en ligne.
« A la faveur des prochaines municipales et régionales
qui se tiendront le 2 septembre prochain, nous avons estimé qu’il était
important d’initier cette session pour évoquer ensemble les responsabilités des
journalistes, en termes de droits, mais aussi de devoirs en période électorale.
Cette session vise à outiller les journalistes à mieux se protéger en période
électorale. Il s’agit également d’appeler l’attention des pouvoirs publics sur
la sécurité des journalistes en tout temps, et surtout en période électorale et
de leur favoriser l’accès à l’information » a-t-elle ajouté
Ce vendredi 21 juillet 2023, le Conseil National des Droits
de l’Homme (CNDH) a participé à un atelier organisé par le Centre pour les Droits de l’Homme de
l’Université de Pretoria, en collaboration avec le Parlement Panafricain (PAP),
portant sur la participation de la société civile au fonctionnement dudit
Parlement.
Présente à cette cérémonie, la présidente du CNDH, Mme
Namizata Sangaré a rappelé que conformément aux Principes de Paris, le CNDH
développe avec les Parlements, une interaction en vertu des Principes de
Belgrade qui disposent que «les Institutions Nationales des Droits de l’Homme
(INDH), les Parlements et tous les parlementaires devraient œuvrer ensemble
pour la sensibilisation et les campagnes d’éducation et encourager leur
participation aux événements, conférences et activités organisées pour la
promotion des droits de l’Homme ». C’est pourquoi, le CNDH se réjouit de la
collaboration avec le Centre pour les Droits de l’Homme et le Parlement
Panafricain (PAP) ; collaboration qu’elle espère fructueuse, avec en première
ligne, le renforcement du rôle de la société civile dans la promotion, la
protection et la défense des droits de l’Homme dans nos Etats. Et ce, dans le
cadre du gouvernement ouvert avec les acteurs de la société civile d’Afrique
francophone.
« Le CNDH réaffirme son engagement à poursuivre son
interaction avec la société civile, en vue de sa participation au développement
économique et à l’intégration continentale, notamment dans les processus de
prise de décision et dans la consolidation de la démocratie dans nos Etats. Le
CNDH travaille avec les OSC à travers un mécanisme d’interaction permanente
dénommé «Forum national des droits de l’Homme»
que nous avons mis en place. C’est un cadre de concertation, de partage
d’expériences, de bonnes pratiques et de conduite de plaidoyers solidaires. Il
est reproduit au niveau régional, dans les 31 commissions régionales » a
indiqué Mme Sangaré.
Dans le cadre de la coopération avec le Centre pour les Droits de l’Homme, le
CNDH compte utiliser ces mécanismes pour ensemble familiariser les
organisations de la société civile d’Afrique francophone avec le fonctionnement
du Parlement panafricain, et cultiver un espace civique propice aux idéaux démocratiques.
Pour répondre efficacement aux besoins des adolescents et des jeunes,
garçons et filles, de l’Afrique de l’Ouest et du Centre (AOC), en général, et
ceux de la Côte d’Ivoire en particulier, un programme d’éducation et de
services de santé sexuelle et reproductive (SSSR) a été élaboré. Ce programme a été présenté ce jeudi 13
juillet au CNDH par l’UNESCO en collaboration avec le CNDH.
« Je voudrais marquer notre pleine et entière adhésion à la
tenue de cette restitution qui permettra, assurément, à l’ensemble des
autorités administratives et institutionnelles, au secteur privé ainsi qu’aux
représentants de la société civile de s’approprier la déclaration de
Brazzaville et de s’y engager résolument au regard de leurs missions. La vision
de l’Engagement de l’Afrique de l’Ouest et du Centre (AOC) envisage des
adolescents et des jeunes éduqués, en bonne santé, responsables, acteurs du
développement de leurs familles, communautés et pays » a dit Mme la
présidente du CNDH.
La présente cérémonie révèle un caractère primordial pour le
pays car, il s’agit de la santé et du bien-être des jeunes, les futurs citoyens
du pays, des acteurs démographiques et agents de développement de la Nation. La proclamation de l’engagement de haut niveau
est la résultante de tout un processus mis en œuvre en Côte d’Ivoire depuis
2020. Ce processus a atteint son apogée avec l’organisation de la concertation
nationale qui a réuni plusieurs parties prenantes. Cet exercice réalisé dans
les 33 Pays, a permis de produire un document consensuel pour l’Afrique de
l’Ouest et du centre.
La cérémonie a été conjointement
organisée par 5 agences du Système des Nations Unies à savoir l’UNESCO,
l’UNFPA, l’UNICEF, l’ONUSIDA, l’OMS qui, toutes, ont dans leur mandat, la
promotion de l’éducation, de la santé, des enfants, des jeunes, la lutte contre
le VIH. Comme vous le savez, le Système
des Nations Unies joue un rôle d’appui conseil et accompagne l’Etat pour une
mise en œuvre efficiente des politiques.
Dans le cadre de son projet d’appui à la sécurisation et à la prévention du risque terroriste dans le Nord de la Côte d’Ivoire, l’ONG internationale COGINTA qui œuvre en Côte d’Ivoire depuis 2019 a sollicité l’appui technique du CNDH. C’était ce jeudi 6 juillet au cours d’une audience avec la présidente du Conseil national des droits de l’homme.
Conduite par Michel Coat, conseiller technique et son directeur pays Hippolyte H. Sib, a obtenu une oreille favorable auprès de la présidente du CNDH afin de collaborer sur différents aspects et différentes thématiques de ce projet concernant les commissions régionales du Tchologo, du Bounkani et du Poro.
Dans le cadre de son interaction avec les partis politique,
le Conseil national des droits de l’homme (CNDH) a organisé le jeudi 6 juillet
une rencontre d’échange avec ces derniers autour du la Loi N° 2004-494 du 10
septembre 2004 relative au financement sur fonds publics des partis et
groupements politiques et des candidats à l’élection présidentielle.
La problématique du financement de la vie politique sur
fonds publics est une préoccupation dans notre pays. Et, cette session visait
à renforcer les connaissances des points
focaux droits de l’homme pour mieux comprendre les enjeux juridiques du
financement des partis et groupements politiques ; analyser les modalités de
mise en œuvre des textes en vigueur sur la question et comprendre la nécessité
d’un contrôle de la gestion des fonds publics alloués.
« Quel est l’état des lieux du financement public des partis
politiques en Côte d’Ivoire ? Quels sont les acquis et insuffisances de cette
loi et qu’est-ce que cette ordonnance apportera de plus à ce dispositif ? Ces
textes offrent-ils des gages structurés autour de standards tels que
l’efficacité, la transparence et l’équité ? Ce dispositif contribue-t-il à la
consolidation des capacités opérationnelles des partis et groupements
politiques ? En termes de transparence, ce dispositif consacre-t-il la traçabilité et la redevabilité comme
exigences de gestion des fonds alloués ? » S’est interrogé la présidente du
CNDH, Mme namizata Sangaré à l’ouverture de la cérémonie.
Autant de questions auxquelles cette session a donné des
réponses.
Le CNDH souhaite à travers cette rencontre, créer les
conditions de l’inclusion effective de tous les partis et groupements
politiques et contribuer à la
consolidation de leurs capacités opérationnelles comme gage d’efficacité.
Le financement des partis politiques offre l’avantage
d’éviter le financement occulte des activités de ces formations, pratique qui
est le déterminant même de la corruption et de la mauvaise gouvernance.
Il s’agit d’éviter également l’opacité dans l’usage des
fonds alloués et d’encourager la publication des comptes des partis politiques
comme une exigence de transparence.
Le Conseil National des Droits de l’Homme CNDH) s’est
impliqué et s’impliquera davantage dans le processus électoral à venir, conformément
à la résolution N° 48/134 du 20 décembre 1993 de l’Assemblée Générale de
l’Organisation des Nations Unies recommande aux Etats de créer des institutions
nationales, qui auront pour missions principales de mettre en œuvre les
politiques en matière de promotion et de protection des droits de l’homme, et
d’orienter les pouvoirs publics dans le domaine des droits de l’homme en vue de
l’enracinement de la démocratie, a indiqué la présidente du CNDH.
A cet effet, dans le cadre de la mise en œuvre de son mandat,
le CNDH a mis en place en juin 2020 un Observatoire pour le respect des droits
de l’Homme dans les processus électoraux.
« Pour les régionales et les municipales de septembre 2023,
nous avons réactivé cet Observatoire sous l’égide duquel a eu lieu
l’observation de la dernière Révision de la Liste Electorale.
Nous nous inscrivons donc dans la dynamique de consolidation
de la paix à travers la mise en œuvre du « principe des 3 P » : Prévention,
Promotion et Protection des Droits de l’Homme. Cet observatoire permettra de
documenter pour les prochaines élections, les violations et atteintes aux
droits de l’Homme » a-t-elle expliqué.
Comme chaque premier lundi de mois, les agents du Conseil national des droits de l’homme (CNDH) ont procédé à une cérémonie de salut aux couleurs. Compte tenu des intempéries, le salut aux couleurs n’a pu se faire. Par contre, un message leur a été adressé par la vice-présidente Mme Marie Paule Kodjo ce lundi 3 juillet dans l’amphithéâtre.
Le message de ce mois portait sur « l’esprit d’équipe. » Par définition, l’esprit d’équipe consiste à faire preuve de solidarité avec les membres de son groupe en situation de travail, afin de transformer celui-ci en équipe à gagner. En effet, l’esprit d’équipe est un lien entre les membres d’un groupe. Il leur donne de faire corps et les pousse à œuvrer pour le bien du groupe au détriment de l’individuel. Plus l’esprit d’équipe est fort, plus les membres sont soudés et travaillent pour l’intérêt commun. A expliqué la vice-présidente.
« Cet élan de « solidarité professionnelle» développe le sentiment de responsabilité et de dépendance réciproque au sein d’un groupe de personnes qui, ayant une communauté d’intérêts, se sentent moralement obligées les unes par rapport aux autres. En ce sens, l’esprit d’équipe fait intimement corps avec la solidarité. Cette solidarité est un devoir social, une obligation réciproque d’aide, d’assistance et de collaboration gracieuse entre les personnes d’un groupe ou d’une communauté, au regard du lien qui les unit. L’esprit d’équipe mêle également qualités humaines et professionnelles, dans une ambiance bienveillante » a poursuivit la vice-présidente.
C’est pourquoi elle a ajouté que les supérieurs hiérarchiques et leurs collaborateurs tirent parti de cette complicité pour atteindre des objectifs communs. Aucune organisation ne peut être performante sans un esprit d’équipe porté par le collectif. Il est révolu, le temps où pour certains, le travail est un lieu de compétition où l’on gagne au détriment de l’autre. Une telle approche n’est qu’illusoire. L’esprit d’équipe doit se traduire, entre autres, par le don de soi, la disponibilité et l’entraide mutuelle au sein de notre institution pour lui garantir une crédibilité, face aux nombreux enjeux et défis à relever.
« Nous avons la responsabilité de faire face, toujours en équipe, aux sollicitations des populations et usagers en matière de promotion, protection et de défense de leurs droits. Il ne doit pas y avoir d’un côté des personnes qui travaillent avec abnégation et de l’autre, un autre groupe qui triche. L’esprit d’équipe est un savoir-être et un savoir-faire qui doivent permettre aux agents du CNDH de se soutenir les uns les autres et d’obtenir d’excellents résultats. Ne dit-on pas que « l’union fait la force » ? S’est-elle interrogée avant d’exhorter ses collaborateurs à faire prévaloir l’esprit d’équipe dans leurs différents services. »
Ce lundi 26 juin, le Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH) a commémoré la journée internationale des veuves à son siège. Une occasion pour enseigner à ces dernières leurs droits.
« On doit cette journée célébrée depuis 2011 à la Première dame du Gabon, Sylvia Bongo Ondimba. Elle s’est en effet engagée dans la promotion et la protection des droits personnes fragilisées » a indiqué la Présidente du CNDH. Cette journée donne l’opportunité aux États, aux associations, aux organisations de la société civile et aux veuves de faire le point des progrès accomplis en matière de protection et de promotion des droits des veuves.
« Cette conférence vise au renforcement de la promotion et de la protection des droits des veuves, à les sensibiliser afin qu’elles se les approprient, notamment à travers la vulgarisation des droits des conjoints survivants » a dit Mme Namizata Sangaré. Conférence prononcée par la ministre Jacqueline Lohoues Oble. Il s’en est suivi un panel avec les directeurs de la Caisse National de prévoyance (CNPS) et de la caisse générale de la retraite des agents de l’État (CGRAE).
Selon le représentant de la Caisse National de Prévoyance Sociale CNPS pour bénéficier des avantages liés au veuvage, il faut avoir au moins 55 ans pour avoir accès à la pension de réversion du conjoint, être marié légalement et avoir au moins deux enfants mineurs afin de bénéficier de 50% du capital du conjoint survivant. Poursuivant, il a indiqué que pour que enfants bénéficient de 20% de la pension de leurs parents t il faut être âgé de – de 21 ans.
Dans cette même lancé M Lida Serge Pacôme de la caisse générale de la retraite des agents de l’État a également statué sur le compte de la CGRAE en donnant un certain nombre de conditions pour pouvoir bénéficier de la pension à savoir : « être marie légalement, le mariage doit excéder au moins 02 années et réunir les pièces administratives. »
La cérémonie a pris fin par une remise de dons de la part de madame la Présidente du Conseil National des Droits de l’Homme.
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