Dégradation de salle de classe : Le CNDH s’implique dans la Nawa

Dégradation de salle de classe : Le CNDH s’implique dans la Nawa

Le Vendredi  15 Octobre 2021, suite à la publication d’un internaute concernant trois (3) classes dégradés qui abritent toujours des élèves à l’école EPP Hôpital 3 de Soubré, la Commission régionale des droits de l’homme (CRDH) a fait un monitoring dans cet établissement pour constater la réalité des faits.

Pour les acteurs des droits de l’homme,  en plus des mesures administratives, les conditions et l’environnement scolaire doivent accompagner lesdites mesures entre autres un environnement sain, des bâtiments garantissant la sécurité physiques des enseignants et enseignés.

Du monitoring, il ressort qu’il  s’agit d’un bâtiment de six (06) classes  et du bureau du Directeur. Le constat est que les classes de CP2, CE1 et CE2 avaient la toiture enlevée en  partie, exposant les élèves aux intempéries en cette saison de pluies.

Des démarches de la CRDH auprès des autorités scolaires ont permis de relocaliser les élèves des classes concernées.

Situation des personnes disparues : Le CNDH et des acteurs réfléchissent sur le renforcement du cadre national de référencement

Situation des personnes disparues : Le CNDH et des acteurs réfléchissent sur le renforcement du cadre national de référencement

Ce mercredi 27 octobre, il s’est ouvert à Grand Bassam, un atelier de «  réflexion des acteurs étatiques sur le renforcement du cadre national de référence des disparitions en Côte d’Ivoire.» organisé par le CNDH en partenariat avec le Comité international de la Croix- Rouge (CICR).

Cet atelier de concertation des acteurs nationaux, devra  aboutir à la formulation de propositions pour le renforcement du cadre légal existant en matière de disparitions et pour la mise en place d’un mécanisme pérenne de recherche des personnes disparues.

« Le phénomène des disparitions est une réalité en Côte d’Ivoire à l’instar de plusieurs pays du monde. Il y a d’un côté, les personnes disparues du fait des crises qui ont secoué notre pays et de l’autre, celles du fait des migrations » a indiqué la présidente du CNDH, Namizata Sangaré expliquant qu’à l’occasion des crises successives que notre pays a connues, la Commission Dialogue Vérité et Réconciliation (CDVR) a enregistré 1995 cas de disparition et 265 cas ont été relevés par la Commission Nationale d’Enquête (CNE) sur la période allant du 31 octobre 2010 au 15 mai 2011.

En plus des cas sus-évoqués, le CNDH a été saisi des cas de disparitions et a enregistré en 2021, 05 cas ; 2020,6 cas ; 2019, 3 cas ; 2018, 11 cas ; en 2017, 3 cas.

« Des personnes disparaissent de plus en plus, notamment en mer, sans que leurs familles et proches ne le signalent aux autorités, ne sachent s’ils sont vivants ou morts et ce qui leur est arrivé. Notre cadre juridique et institutionnel existant au plan national en matière de personnes disparues du fait des crises et de migrants disparus est-il adapté aux enjeux et défis des disparitions ? Voici la principale question à laquelle répondra cet atelier.

Mariage forcé : Le CNDH dénonce un mariage et sauve l’année scolaire d’une jeune fille

Mariage forcé : Le CNDH dénonce un mariage et sauve l’année scolaire d’une jeune fille

Le lundi 04 octobre 2021 ; la Commission régionale des droits de l’homme du Tchologo (CRDH) est saisie pour un cas de mariage forcé par une personne  souhaitant garder l’anonymat.  Des investigations de la CRDH, il ressort que  dame D.M mère adoptive de l’élève M.D depuis son bas âge a décidé de donner cette dernière en mariage à un adulte de plus de 50 ans. Alors qu’elle rentrait des vacances de 2019 de son pays natal, M.D est  informée qu’on lui aurait trouvé un époux dans son pays. Elle sera y ramener pour la célébration du mariage après les examens du BEPC 2020-2021.

Après son échec audit examen, sa tutrice D.M décide de ne plus la scolariser puisqu’elle projetterait l’envoyer à son mari.

 La concernée s’est présentée au siège de la CRDH avec des blessures au corps prétendant que sa maman adoptive l’avait battu.  La CRDH a aussitôt saisi le capitaine Goudé, point focal VBG de commissariat de police de Ferkessédougou et le procureur de Korhogo.  Parallèlement, le président de la CRDH a demandé aux parents de la victime de l’envoyer à l’hôpital pour les soins. Il les a également invités à procéder à l’annulation du mariage et à l’inscrire pour l’année scolaire en cours.

Suite aux différentes saisines, Dame  D.M A   a été mise aux arrêts par la police et sur instruction du procureur devra être transférée au tribunal pour répondre de ses actes.               Les parents ont informé la CRDH-Tchologo de l’annulation du mariage et de l’inscription en ligne de la jeune fille avec des preuves à l’appui.

Le CNDH célèbre la journée africaine des droits de l’homme

Le CNDH célèbre la journée africaine des droits de l’homme

La Charte Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples (CADHP), adoptée le 27 juin 1981 à Nairobi, Kenya, lors de la 18ème Conférence de l’Organisation de l’Unité Africaine (OUA), est entrée en vigueur le 21 octobre 1986, après ratification de la Charte par 25 États.

Elle constitue la base du système africain des droits de l’homme, et a pour vocation d’embrasser les aspirations des peuples africains à avoir un système efficace et cohérent de protection de leurs droits et libertés qui leur sont propres.

Le 21 octobre offre chaque année à l’Afrique l’occasion de commémorer la Journée africaine des droits de l’homme (JADH), de réfléchir et de renouveler l’engagement solennel des dirigeants et peuples africains à promouvoir et protéger les droits de l’homme sur le continent.

Ainsi, le Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH), célèbre, le 21 octobre 2021 dans ces locaux,  partir de 10 heures, la Journée Africaine des Droits de l’Homme sur le thème : « Les droits de l’homme en Afrique, 40 ans après l’adoption de la Charte Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples.»

L’objectif général de cette célébration est de vulgariser les mécanismes africains de promotion et de protection des droits de l’Homme à travers l’édition d’un document.

Travail des enfants : Le CNDH aide deux fillettes à reprendre le chemin de l’école

Travail des enfants : Le CNDH aide deux fillettes à reprendre le chemin de l’école

Le lundi 04 octobre 2021 la Commission régionale de la Nawa (CRDH)  s’est autosaisie d’un cas de deux (2) enfants en situation de travail. Il s’agit de K.D (8 ans)  et d’A.D (6 ans).

Ces deux fillettes, sorties de l’école pour manque de moyen financier, étaient utilisées comme des vendeuses ambulantes dans les rues de Soubré.

Les diligences effectuées par la CRDH ont permis le même jour de ramener la plus âgée dans son école et de procéder à son inscription avec séance tenante avec l’accord du directeur de l’école. La moins âgée quant à elle a été ramenée à ses parents biologiques vivants dans une autre localité.

Garde d’enfant : le CNDH facilite le cas d’un enfant de parents séparés

Garde d’enfant : le CNDH facilite le cas d’un enfant de parents séparés

Le Mardi 12 Octobre 2021, la Commission régionale des droits de l’homme de la Nawa (CRDH) saisie par Mlle Y.S accompagnée par sa mère Mme T.E se plaignant de M. K.K (son ex compagnon) pour avoir confisqué leur fils.  K.K.D.M.A (4 ans).

La mère avait la garde de l’enfant jusqu’à ce qu’elle décide de l’envoyer faire ses vacances auprès de son père à Yamoussoukro. A la fin des vacances, celui-ci décide d’inscrire son fils dans une école à Yamoussoukro sans en informer son ex compagne. Chose que n’apprécie guère la mère.  Pour le père, il s’agit de donner de meilleures conditions de vie à l’enfant et créer les conditions pour une réussite scolaire. Mais la mère ne l’entendait pas de cette oreille.

L’intervention de la CRDH aura permis de diviser la poire en deux. Désormais l’enfant sera auprès de son père durant la période scolaire et avec sa mère pendant les congés et les vacances.

Mariage forcé : une adolescente sauvée par le CNDH

Mariage forcé : une adolescente sauvée par le CNDH

Le mardi 28  Septembre 2021, sur saisine du centre social de région de Soubré,  la Commission régionale des droits de l’homme (CRDH)  a fait les diligences nécessaire afin d’annuler un cas de mariage forcé de D.M, une mineure de 14 ans, 

En effet, mariée de force à ce jeune âge, D.M fugue fréquemment du domicile de son époux qui, selon elle, la bat fréquemment. Rattrapée à chaque fois, elle était ramenée chez son mari. Elle a maintes fois supplié ses proches de la ramener  dans son pays le Mali sans suite favorable.

La CRDH en vue de mener les actions nécessaires pour l’annulation de ce mariage et sensibiliser sur la législation ivoirienne concernant le consentement dans le mariage et l’âge de la majorité a rencontré les tuteurs de D.M.

Ces échanges ont permis de faire ramener D.M auprès de ses tuteurs qui l’ont aussitôt ramené auprès de sa famille au Mali en prenant soin d’annuler ladite union.

Le CNDH remet son rapport sur la situation des droits de l’homme au Président de la République

Le CNDH remet son rapport sur la situation des droits de l’homme au Président de la République

Le Conseil national des droits de l’Homme (CNDH) a procédé ce mardi 21 septembre à la remise de son rapport annuel 2020 au Président de la République représenté par le Ministre auprès du Président de la République chargé des Relations avec les institutions, Gilbert Kafana Koné.

En résumé de ce rapport, l’on retient que le CNDH a enregistré pour la période 2020, 1765 saisines dont 1287 entièrement traitées.  Parmi ces saisines, l’on dénombre note 950 cas au titre des droits civils et politiques, 800 cas relatifs aux droits économiques, sociaux et culturels, et 15 cas concernant des droits de solidarité. La présidente du CNDH, Namizata Sangaré a particulièrement insisté sur la persistance des violences basées sur le genre (VBG) « malgré les efforts des autorités gouvernementales », avec 325 plaintes relatives aux VBG dont 152 cas de viol.

Le CNDH recommande, entre autres, le renforcement des plateaux techniques des structures sanitaires sur toute l’étendue du territoire, l’augmentation de 15% le budget alloué à la santé conformément à la déclaration d’Abuja afin de garantir le droit à la santé des populations, la construction davantage d’infrastructures scolaires afin de garantir le droit à l’éducation pour tous les enfants.

Le ministre Gilbert Kafana Koné a pour sa part, au nom du Président Alassane Ouattara, rassuré de l’engagement de l’Etat ivoirien travailler au renforcement à la promotion des droits de l’Homme dans le pays.

Kafana Koné s’est félicité des progrès réalisés par la Côte d’Ivoire ces dernières années notamment dans le domaine de la santé avec la construction en cours de plusieurs centres de santé, mais aussi le renforcement des infrastructures socio-éducatives.

Droits de l’Homme dans l’espace Francophone : l’ivoirienne Namizata Sangaré prend la tête de l’AFCNDH

Droits de l’Homme dans l’espace Francophone : l’ivoirienne Namizata Sangaré prend la tête de l’AFCNDH

Bonne nouvelle. Mme MEITE Namizata Epse SANGARE, de la Côte d’Ivoire, est la nouvelle présidente élue  de l’Association Francophone des commissions des droits de l’homme (AFCNDH), l’un des réseaux institutionnels francophone de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF).

Elle a été élue ce lundi 20 septembre 2021, au cours de l’Assemblée générale qui s’est tenue, pour la première fois, en mode virtuel afin de respecter les règles de distanciation physique liées à la pandémie de Covid-19.

Trente-quatre (34) ont pris part à cette assemblée générale virtuelle. Onze (11) des dix-huit (18) de statut A conformes aux principes de Paris ont pris part au vote.

Mme Namizata Sangaré  (Côte d’Ivoire) dont la Côte d’Ivoire a été portée par la France ainsi que d’autres pays comme le Sénégal et le Bénin, a recueilli  huit (8) voix, contre trois (3) voix pour maitre Ahmed Salem BOUHOUBEYNI, président de la Commission nationale des Droits de l’Homme de la Mauritanie. 

La nouvelle présidente remplace à ce poste  pour un mandat de trois ans, Khalid Ikhiri, l’ex président de la Commission Nationale des Droits de l’homme du Niger dont le mandat a pris fin initialement en septembre 2020, a été prolongé d’un an en raison de la pandémie à coronavirus.

La nouvelle présidente de l’AFCNDH assistée par trois vice-présidents (Mauritanie, Togo, RDC) s’engage à «apporter son expertise et son expérience à la construction de l’AFCNDH ».  Elle compte «mettre au service de l’AFCNDH son leadership affirmé»

Cette vision se traduira, selon elle,  par : « l’amélioration du fonctionnement et de l’interaction entre les membres de l’association ainsi qu’avec les autres réseaux d’INDH; l’appui au renforcement des capacités institutionnelles et techniques de ses membres; l’accompagnement dans le processus d’accréditation des INDH par le sous-comité d’accréditation (SCA) (GANHRI) ;l’assistance aux INDH francophones dans la gestion des processus électoraux en lien avec les droits de l’homme ;la participation à l’expression du pluralisme, de la diversité et de la citoyenneté dans l’espace francophone ;la recherche de nouveaux partenaires et de nouveaux financements.

Défenseure des droits de l’homme, MEITE Namizata Epse SANGARE est forte d’une longue expérience en la matière. Elle a développé une expertise en droits de l’homme au sein de la société civile depuis près de 25 ans. Présidente-fondatrice de l’Organisation des Femmes Actives de Côte d’Ivoire de 2006 à 2013, MEITE Namizata Epse SANGARE a mené dans toute la Côte d’Ivoire, à travers ses sections, plusieurs actions au bénéfice des populations et principalement les femmes.

Elle assure depuis le 4 Avril 2019, les fonctions de Présidente du Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH).  Du 24 mai 2016 au 31 décembre 2018, elle a présidé aux destinées de la Commission Nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire (CNDHCI),  aujourd’hui Conseil National des Droits de l’Homme suite à une reforme institutionnelle.  Elle a participé en 2004 au Programme international de formation en droits de la personne au collège John Abbott à Sainte Anne de Bellevue, à Quebec au Canada ainsi qu’en 2015, à la formation sur la protection des droits de l’Homme du Cycle International Spécialisé d’Administration publique (CISAP) à l’ENA de Paris.

MEITE Namizata Epse SANGARE  a également pris part à plusieurs ateliers sur le genre, la gestion des conflits et la démocratie. Avec son expertise et sa grande expérience, elle est formatrice en droits de l’Homme et productrice de l’émission Espace Citoyen sur la télé 1ère Chaine. En outre, elle est observatrice internationale des élections pour le compte de l’Union Africaine, de la CEDEAO et de la Francophonie.

En outre, elle  a été distinguée par la CHAIRE UNESCO en tant « Ambassadrice pour la culture de la paix. » (19 décembre 2020) ; au titre de commandeur dans l’ordre du mérite de la fonction publique (16 Janvier 2020 par le ministère de la Fonction publique) ; Chevalier dans l’ordre du mérite ivoirien (8 Mars 2008 à Abengourou, par la Ministre de la Famille de la Femme et des Affaires Sociales)  et  Chevalier dans l’ordre du mérite Ivoirien (8 Mars 2012 à Abidjan par la grande Chancelière de l’Ordre National.

Enfin, elle a également été fait grand chancelier de l’Ordre National de la France le 24 Mars 2015 à la résidence de France dans l’ordre nationale du Mérite, au grade de chevalier sur nomination par décret du Président de la République française le 5 Décembre 2013.

A propos de l’AFCNDH

L’AFCNDH regroupe des institutions nationales des droits de l’Homme (INDH) de pays membres de la Francophonie ainsi que l’Algérie (en qualité d’observateur).  Elle compte actuellement trente-trois (35) membres. Elle est composée des INDH des pays suivants : Algérie (observateur), Belgique, Bénin, Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Canada, Capo-verde, Comores, Côte d’Ivoire,  République démocratique du Congo, Congo Brazzaville, Djibouti, Egypte, France, Gabon, Ghana, Grèce, Guinée Bissau, Guinée Conakry, Haïti, Luxembourg, Madagascar, Mali,  Maroc, Maurice, Mauritanie, Niger, République centrafricaine, Roumanie, Rwanda, Sénégal, Suisse, Tchad, Tunisie, Togo.

Ses instances :

·         L’Assemblée Générale : elle se réunit tous les trois ans à l’occasion du Congrès de l’AFCNDH au cours duquel les membres examinent une thématique de droits de l’homme,

·          partagent leurs expériences et adoptent des résolutions ou déclarations ;

·         Le Conseil d’Administration : il gère le fonctionnement et les activités de l’Association, à l’exception de celles qui sont réservées à l’assemblée générale. Il se réunit une fois par 

·         an en session ordinaire;

·         Le bureau du conseil d’administration : il se réunit si possible, au moins deux fois par an, sur convocation du Président afin de préparer les réunions du Conseil d’administration 

·         et exercer toute autre attribution pour le bon fonctionnement du Réseau.

EPU: Le CNDH forme les parlementaires

EPU: Le CNDH forme les parlementaires

Dans le cadre de son mandat de promotion, de protection et de défense des Droits de l’Homme, le Conseil National des Droits de l’Homme en partenariat avec l’UPR info a organisé ce mercredi 04 août 2021 une session d’orientation sur l’Examinateur Périodique Universel (EPU) pour l’Assemblée Nationale et le Sénat à l’hôtel le Régent de Grand Bassam. Cette session vise à sensibiliser les parlementaires aux points d’entrée à l’EPU, notamment en partageant les bonnes pratiques observées dans d’autres parlements et favoriser une coopération avec les organisations de la société civile et le CNDH. 

 
 
Selon  la Présidente du CNDH Madame Namizata SANGARE «  L’ organisation du présent cadre d’échanges et d’orientation des parlementaires sur leur rôle dans le suivi  et la mise en oeuvre des recommandations de l’Examen Périodique Universel (EPU) répond à  la nécessité de renforcer les capacités de notre parlement, en vue de lui assurer une meilleure participation à la réalisation des obligations de l’État en matière des Droits de l’Homme,  à savoir respecter, protéger et réaliser les Droits de l’Homme. »
 Pour M. DIABAGATE Mamah ,représentant le Président de l’Assemblée Nationale « c’est une étape importante en vue de poursuivre la discussion sur la mise en œuvre des recommandations de l’EPU en identifiant les progrès et les obstacles ».Rappellons que le 7 Mai 2019, la Côte d’Ivoire a reçu 247 recommandations de la part de 101 États membres des Nations Unies et elle se situera à mi-parcours du 3ème cycle de l’EPU en novembre 2021.