Comme chaque premier lundi de mois, le personnel du CNDH sous la houlette de la présidente Namizata Sangaré, a procédé au salut aux couleurs.
Pour ce lundi 7 avril, les échanges ont porté sur la dimension psycho-affective du travail exercer au quotidien et l’état d’esprit qui devrait animer le personnel du CNDH dans la conduite des activités.
« En effet, le bien-être au travail est un concept essentiel dans le monde professionnel moderne, englobant le sentiment général de satisfaction et d’épanouissement dans et par le travail, qui dépasse l’absence d’atteinte à la santé. Il est lié à différents facteurs : physique, psychologique, mais également émotionnel et psychosocial » a indiqué Mme Namizata Sangaré.
Poursuivant, elle a indiqué que la santé physique, mentale, les conditions de travail, l’évolution de l’individu sur le lieu de travail et dans la société, sa rémunération, l’harmonie avec ses collègues et sa hiérarchie contribuent à son bien-être. C’est pourquoi, dira-t-elle, cette quête implique non seulement une harmonie entre ses aspirations personnelles et ses objectifs professionnels, mais également un environnement de travail qui favorise le bien-être.
Eu égard à l’importance du bien-être au travail, l’encadrement managérial du CNDH qui en a une haute conscience, s’efforce de mettre en œuvre des stratégies, en créant les conditions favorables à l’épanouissement professionnel et personnel des collaborateurs, conduisant à une amélioration de la performance globale et à une réduction des risques psychosociaux et économiques. « Nous continuerons de mettre en place des stratégies en vue d’offrir le mieux- être aux travailleurs. Il s’agit d’améliorer l’environnement de travail de promouvoir davantage des rapports sociaux apaisés et agréables au sein des équipes et avec la hiérarchie ; d’encourager le développement professionnel et permettre aux talents d’utiliser pleinement leurs compétences et de Pérenniser les programmes de reconnaissance et de récompense, pour ne citer que celles-ci » a-t-elle rassuré.
En conclusion, elle a rappelé que chaque travailleur doit se sentir acteur de l’évolution du CNDH et de l’amélioration des Droits de l’Homme dans notre beau pays. Le bien-être au travail dépend certes de l’employeur, mais aussi de la quantité et de la qualité de travail produit par l’employé. Au total, le bien-être au travail est le résultat d’une combinaison de facteurs liés à la culture d’entreprise, au management, à l’environnement de travail et au soutien apporté aux employés.















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