50 membres de 25 partis politiques formés aux droits de l’homme et aux élections

50 membres de 25 partis politiques formés aux droits de l’homme et aux élections

Débuté le 7 septembre, le séminaire de formations des partis politiques organisé par le CNDH en partenariat avec la fondation Friedericht Naumann a pris fin ce vendredi 11 septembre. Durant cinq jours, deux représentants des 25 partis politiques invités, ont été formé sur la problématique de « Droits de l’homme et élections ».
Au nom des acteurs des participants, Me Suy Bi, tout en remerciant le CNDH pour l’initiative, a engagé ses pairs à « prolonger cette formation au sein de leur parti respectif et à être eux-mêmes des acteurs de paix et de droits de l’homme. »
« Loin des joutes politiques et électorales, vous avez accepté, d’échanger ensemble, de partager des repas ensemble, bien que vous soyez de formations politiques différentes. Cette formation vous a menés vers l’homme » a indiqué Mme la vice-présidente du CNDH, Dr Marie-Paule Kodjo lors du discours de clôture. Sans « trahir le sentiment du plus grand nombre en affirmant que les 5 jours de formation et d’échanges furent un réel succès » elle a rappelé que cette session de formation vise à outiller les acteurs politiques sur le respect des Droits de l’Homme en période électorale a été un rendez-vous du donner et du recevoir.
Pour rappel, les thèmes suivants ont été abordés :
• Quel est le rôle de l’Organe de gestion des élections ?
• Quel est le cadre Constitutionnel, institutionnel et légal des élections ?
• Quels sont les instruments internationaux et sous régionaux des élections ?
• Comment se déroule le processus de parrainage ?
• Comment sécuriser les élections ?
• Comment faire le monitoring des violations des Droits de l’Homme ou rédiger un rapport de monitoring ?
• Quelles sont les voies de recours en cas de contestation ?
• Comment prévenir les violences à l’égard des femmes en période électorale ?
• Comment assurer une meilleure participation des femmes au processus électoral ?
• Quel rôle de la société civile pour un scrutin apaisé ?